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Basée sur une histoire vraie, "La saison des rhinocéros" nous raconte une histoire d'amour envoûtante qui s'étend sur trois décennies. Victime d'une vendetta personnelle pendant la période trouble de la révolution islamique en Iran, Sahel (Behrouz Vossoughi), un poète kurde, est jeté en prison avec son épouse adorée Mina (Monica Bellucci). Libérée après dix ans de détention, Mina apprend par les autorités iraniennes que son mari est mort en prison. Effondrée, elle quitte Téhéran pour Istanbul, sans savoir que son mari est toujours en vie, quelque part dans une prison du pays. Vingt ans plus tard, après avoir enfin purgé sa peine, Sahel se lance à la recherche de sa femme, dont le souvenir était la seule chose qui l'avait soutenu au long de son calvaire. Mais après s'être accroché à cette image idéalisée durant tant d'années, comment affronter la réalité ?

Au Kurdistan, Bahar, commandante du bataillon Les Filles du Soleil, se prépare à libérer sa ville des mains des extrémistes, avec l’espoir de retrouver son fils. Une journaliste française, Mathilde, vient couvrir l’offensive et témoigner de l’histoire de ces guerrières d’exception. Depuis que leur vie a basculé, toutes se battent pour la même cause : la femme, la vie, la liberté.

Elaha, une jeune femme d’origine kurde de 22 ans, cherche par tous les moyens à faire reconstruire son hymen pensant ainsi rétablir son innocence avant son mariage. Malgré sa détermination, des doutes s'immiscent en elle. Pourquoi doit-elle paraître vierge, et pour qui ? Alors qu’un dilemme semble inévitable, Elaha est tiraillée entre le respect de ses traditions et son désir d’indépendance.

Lady Winsley, une romancière américaine, est assassinée sur une petite île turque. Le célèbre inspecteur Fergün arrive d’Istanbul pour mener l’enquête. Très vite, il doit alors faire face à des secrets bien gardés dans ce petit coin de pays où les tabous sont nombreux, les liens familiaux étroits, les traditions ancestrales et la diversité ethnique plus large que les esprits.

Portrait troublant de quatre volontaires occidentaux qui risquent leur vie pour combattre Daech aux côtés des forces kurdes. Le long métrage documentaire MY WAR explore les motifs complexes derrière la nécessité de prendre les armes au nom de quelqu'un d'autre.

Fatma et sa mère sont réfugiés kurdes en Italie. Lors d’une consultation médicale, Fatma doit traduire ce que le médecin dit à sa mère, mais la jeune fille garde le silence.

Comrades Mano and Sharan (Little Brother) travel from northern Iraq after Sharan's brother is shot by Iraqi militia forces. The Kurdish boys dream of a new life in Norway, but the new start does not turn out quite as they had imagined.