Le Château de ma mère

Le Château de ma mère 1990

7.20

Chaque fin de semaine et en été le jeune Marcel et sa famille passent leurs vacances dans les collines au-dessus de Marseille. Marcel a hâte de retrouver son «petit frère des collines», Lili des Bellons. Mais le passage par les berges du canal à travers des domaines de châtelains est une véritable aventure, et une angoisse renouvelée pour Augustine, quand Bouzigue offre la possibilité de gagner du temps pour rejoindre par ce raccourci le lieu de leur villégiature. C'est toutefois Isabelle, fille d'un prétendu poète, qui monopolise l'attention du jeune Marcel, et pour laquelle il consent des sacrifices qui inquiètent sa famille et son ami.

1990

Les Trésors de Marcel Pagnol

Les Trésors de Marcel Pagnol 2019

8.00

A l'appui de nombreuses archives inédites, d'extraits de films, de romans, de pièces de théâtre, mais aussi de documents fournis par son petit-fils Nicolas Pagnol, le documentaire retrace la vie et l'oeuvre de Marcel Pagnol. Au fil de ses œuvres, carnets, journaux intimes, notes et souvenirs - des mémoires à la correspondance, en passant par les «Confidences» et les «Carnets de cinéma» - on découvre un homme ambitieux, téméraire et sûr de ses idées, qui menait chaque projet à terme, sans jamais perdre espoir ni se soucier du qu'en-dira-t-on. Un incorrigible curieux qui s'entêta à imposer le cinéma parlant à une époque où personne n'y croyait. Un ami fidèle, demeuré proche, malgré leurs différends, de Raimu ou d'Albert Cohen. Et un éternel enfant, qui rêvait d'offrir un «Hollywood provençal »à sa région natale...

2019

Le Gendre de monsieur Poirier

Le Gendre de monsieur Poirier 1933

6.00

Monsieur Poirier, un bourgeois au grand cœur, se trouve à la tête d’une grosse fortune. Épris de dignité aristocratique, il a marié sa fille Antoinette au marquis Gaston de Presles, un gentilhomme ruiné et débauché, qui n’a consenti à cette union que par intérêt, dilapidant sans vergogne la dot de l’héritière. M. Poirier ne tarde pas à s’insurger contre ces frasques inconsidérées. Mais son gendre flatte sa vanité en lui faisant miroiter le titre de baron et sa nomination à la pairie de France. Il en appelle à son ami le duc de Montmeyrand et fait étalage de l’héroïsme de ses ancêtres, morts qui à la bataille d’Ivry, qui à Fontenoy, qui à Quiberon. Poirier lui oppose son obscure vie de labeur, qui permet aujourd’hui au marquis de rouler carrosse. Tout s’arrangera, car le jeune libertin finit par tomber éperdument amoureux de son épouse, lui sacrifiant sans remords ses maîtresses et sa vie de patachon. Il se convertira à la noblesse du travail quotidien.

1933