Antoinette (Anne-Marie Carrière) qui veut épouser Jules (Jean Clarieux) apprend à l'état civil qu'elle est déjà mariée avec un baron de Mont-Vermeil (Claude Nicot). Elle se souvient que dix ans plus tôt on lui vola son sac à main, ses papiers et que la voleuse a épousé, sous son identité, un baron. Elle se présente au manoir de son "époux légal" pour lui dévoiler la vérité et réclamer le divorce. Mais non sans difficultés, la tante du baron (Denise Grey) est une comtesse très conservatrice. Mais pas scandale possible, le cardinal de Trémone (Jacques Morel) arrive pour un séjour au château. Pour sauver les apparences devant le cardinal, Antoinette tiendra le rôle de celle qui a épousé le baron. Jules sera son frère. Son éminence, constatant que le baron est prêt à divorcer pour convoler avec Gisèle (Anne Sitel), la dame de compagnie de la comtesse, se met en tête de sauver le mariage du baron et d'Antoinette...
Enregistrée le samedi 11 juin 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.
Titre | J'y suis, j'y reste |
An | 1966 |
Genre | Comédie |
Pays | |
Studio | Office de Radiodiffusion Télévision Française, ORTF Télévision 1 (FR), ORTF Télévision 2 (FR) |
Jeter | Anne-Marie Carrière, Denise Grey, Anne Sitel, Jacques Morel, Claude Nicot, Arlette Didier |
Équipage | Raymond Vincy (Author), Pierre Sabbagh (Director), Pierre Soutine (Decorator), Jean Valmy (Stage Director), Lucien Ballard (Cinematography), Jean Valmy (Author) |
Mot-clé | theater play |
Libération | Jul 21, 1966 |
Durée | 137 minutes |
Qualité | HD |
IMDb | 10.00 / 10 par 1 utilisateurs |
Popularité | 1 |
Budget | 0 |
Revenu | 0 |
Langue | Français |