Lulù Massa, véritable stakhanoviste du travail, est ouvrier modèle dans une usine métallurgique : grâce à son extrême rapidité, son rendement est cité en exemple par son patron. Les autres travailleurs ne voient pas d’un bon oeil ces cadences infernales, et il est détesté de ses collègues dont il méprise les revendications sur les conditions de sécurité au travail. Bercé par les rêves de la société de consommation entre son amie, son fils Arturo resté avec sa mère après le divorce de ses parents, sa voiture et sa télévision, Lulù réalise parfois la vanité de la vie qu’il s’impose. Alors qu’il se coupe un doigt accidentellement les autres ouvriers, par solidarité, se mettent en grève. Cet événement provoque en lui une profonde remise en question. Lulù décide alors de s’investir dans l’action syndicale et engage toute son énergie dans ce nouveau combat. Il soutient alors la nécessité d’une grève illimitée…
Titre | La classe ouvrière va au paradis |
An | 1971 |
Genre | Drame |
Pays | Italy |
Studio | Euro International Films |
Jeter | Gian Maria Volonté, Mariangela Melato, Salvo Randone, Gino Pernice, Luigi Diberti, Mietta Albertini |
Équipage | Elio Petri (Director), Elio Petri (Story), Ugo Pirro (Story), Grazia De Rossi (Hairstylist), Claudio Mancini (Production Coordinator), Ubaldo Terzano (Camera Operator) |
Mot-clé | working class, labor strike, labor union, social awareness, social allegory, working class people |
Libération | Sep 17, 1971 |
Durée | 125 minutes |
Qualité | HD |
IMDb | 7.80 / 10 par 336 utilisateurs |
Popularité | 6 |
Budget | 0 |
Revenu | 0 |
Langue | Italiano |